Avec ses 70 ans d’existence, BURGEAP a intégré les femmes dans l’entreprise au même rythme que le métier d’ingénieur a évolué dans le recrutement des élèves d’écoles.
Même si l’ingénierie et la géologie dans les années 50-70 n’étaient pas un métier attirant beaucoup de  vocations féminines. Aujourd’hui, BURGEAP compte autant de femmes que d’hommes dans les agences, aussi bien en France qu’à l’international ; les postes à pourvoir sont ouverts avec une parfaite équité.

Depuis quelques années, des techniciennes, dur métier de terrain, poussent également la porte de BURGEAP.

Dernier bastion masculin, la direction est depuis 2013 assurée par Michèle Cyna. En 2015, 4 femmes ingénieures sont à la direction de la moitié des agences ; l’année suivante, le comité de direction accueille sa 3ème femme : Carole Leyris, qui d’ailleurs a été parmi les finalistes du trophée 2015 des femmes de l’industrie.

Etre femme à BURGEAP,
• c’est gérer de beaux et complexes projets d’ingénierie, en apportant son expertise, aussi bien en France qu’à l’international ;
• c’est mener des réunions auprès des administrations ;
• c’est intervenir en urgence pour gérer une pollution ;
• c’est évoluer et mener sa carrière, notamment grâce à un accord homme-femme.

Etre une femme, c’est aussi :
• réussir à concilier sa vie de famille avec si on le souhaite la possibilité d’un temps partiel ;
• c’est obtenir des fonctions centrales comme notre référente « mission handicap » ;
• c’est être sportive de haut niveau et pouvoir s’entraîner tout en travaillant.

BURGEAP soutient les initiatives féminines personnelles comme celle de Marlène Devillez, ingénieure hydrogéologue, qui aujourd’hui peut travailler partiellement en télétravail près de ses rivières jurassiennes et maintenir son titre de championne de France de kayak freestyle qu’elle a depuis le début de la discipline en France et ce, depuis sept ans consécutifs.


Etre femme et ingénieure, c’est possible, elles sont la moitié de nos effectifs. Nous leur disons merci !